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Souhaitez- vous savoir ce que vos ancêtres vous ont légué ? Existe-t-il un destin familial ?

Le 30 octobre 2020
Souhaitez- vous savoir ce que vos ancêtres vous ont légué ? Existe-t-il un destin familial ?

 Existe-t-il un destin familial ?

Nos ancêtres nous ont transmis bien autre chose que nos traits et nos gènes, et nous sommes parfois victimes d’histoires dont nous n’avons pas connaissance.

La méthode HERIT(R)  est un outil qui nous aide à décrypter notre filiation, transmission héréditaire, souffrances à répétition, maladies qui se répètent

 Dépendance affective, compulsions, addictions échecs à répétitions, émotions disproportionnées sont des réactions que nous ne comprenons pas toujours car nos gênes contiennent aussi les          « programmations » de nos aïeux qui leur ont permis de survivre

La méthode HERIT®  a pour vocation de vous aider à intégrer, harmoniser et développer les mémoires transgénérationnelles et acquises afin de les «  remettre » à jour

Qu’est-ce que le transgénérationnel ?

Quiconque s’est peu ou prou penché sur son arbre généalogique y a inévitablement croisé Anne Ancelin Schützenberger qui est la référence inévitable des personnes curieuses de leurs ancêtres, des dénicheurs de secrets de famille, des victimes de silences.

Dans « Aïe, mes aïeux ! » cette psychanalyste, professeure de psychologie clinique à l’université de Nice qui a travaillé avec les plus grands ( Françoise Dolto, Carl Rogers, Gregory Bateson, Paul Watzlawick…), inventait un nouveau mot : psychogénéalogie.

L’idée flottait depuis 1913 déjà, quand, dans Totem et Tabou (Payot, “Petite bibliothèque”, 2001), Freud écrivait : « Nous postulons l’existence d’une âme collective et la possibilité qu’un sentiment se transmettrait de génération en génération se rattachant à une faute dont les hommes n’ont plus conscience ni le moindre souvenir. » La même année, Jung développait l’idée d’une « transmission héréditaire de la capacité d’évoquer tel ou tel élément du patrimoine représentatif ».

Restait à y poser un mot, et à construire une théorie.

 Partant du principe que nos ascendants nous ont légué plus que nos gènes ou nos traits, Anne Ancelin Schützenberger établit le principe de l’existence, dans chacune de nos familles, de règles de loyauté et d’un système de « comptabilité » non -dits, qui fixent le rôle de chacun d’entre nous et nos obligations familiales.

Comme un immense inconscient familial qui nous cloue à notre place et semble nous interdire d’en bouger.

Sur la trace de ces blocages, le travail sur l’arbre généalogique traque les répétitions de dates anniversaires, de traumatismes, d’événements douloureux, de maladies, et les met à jour, les nettoie

Anne Ancelin Schützenberger écrit : « Je suis fière d’avoir inventé un outil qui permette de se raconter – et de transmettre à ses enfants – sa propre histoire en la comprenant. Ainsi faisant, nous pouvons nous libérer des emprises familiales qui nous empêchent de vivre selon notre désir. Et si nous avons des enfants, leur donner le meilleur de notre histoire familiale et de nous-mêmes. »

Le transgénérationnel  et la transmission familiale

Il est important de différencier deux formes de transmission familiale : la transmission intergénérationnelle (entre générations se connaissant) et la transmission transgénérationnelle (sur plusieurs générations parfois lointaines) d’une « tâche inachevée ». La première est claire et contient ce qui est connu, consciemment transmis. La seconde contient ce qui est tenu secret, caché, non -dit, non su, souvent un traumatisme ou un deuil non résolu, mais encore actif.

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